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UN RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE ?

QUESTIONS ET RÉPONSES POUR COMPRENDRE

Par afs •  • Jeudi 05/11/2015 • Version imprimable

 

Le réchauffement climatique en questions et réponses.
Comprendre ce dont il s’agit

Les questions que vous vous posez et leurs réponses

 
 

Par Jean de Sablet


 

 

D’où vient le concept de réchauffement climatique ?

--Dans les années 1960, de grands esprits politico-financiers  s’interrogent sur les thèmes qui pourraient fédérer les nations sous l’égide d’un gouvernement mondial.[1] Alors que le monde était dans une phase de refroidissement, entre 1940 et 1970, on cherche à « fédérer » les populations sur un thème de survie.[2]Le galop d’essai fut le trou d’ozone, dès 1975[3]. En 83, A. Sakharov exposait la théorie de l’hiver nucléaire. Mais ce fut le réchauffement qui remporta l’adhésion : Conférence de Villach en 1985 sur l’effet de serre puis un séminaire dans la propriété de Rockefeller[4] à Bellagio, en 1988, la création de l’I.P.C.C., ou G.I.E.C. en français.[5]

Qu’est-ce-que le G.I.E.C. ?

--C’est une traduction (Groupement intergouvernemental d’étude du climat), de l’I.P.C.C. (Intergovernment Panel for Climate Change), aussitôt déformée dans les médias francophones pour: groupement international d’experts pour le climat. Les mots importants sont « intergouvernemental » qui montre la désignation par les gouvernements et « étude » qui ne parle pas d’experts)

Comment est-il constitué ?

--Comme son nom l’indique, c’est un organe intergouvernemental: Ses membres sont les gouvernements. Ceux-ci désignent leurs candidats pour former les trois groupes de travail. Il regroupe actuellement presque 200 pays. Il est évident que tous ces pays ne possèdent pas d’experts en climatologie. Alors on va mélanger les genres: météorologues, géologues, vulcanologues, biochimistes, physiciens de l’atmosphère etc. D’autres n’ont pas de formation scientifique autour de ce thème du climat: sociologues, démographes…[6] Comme les O.N.G.[7] ont un pouvoir de veto sur les nominations et peuvent proposer leurs candidats, la diversité est vraiment impressionnante.

Quelle est sa mission ?

--En résumé, sa mission est de fournir aux autorités internationales les éléments qui prouvent la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique incriminé. À l’exclusion de toute autre cause possible! (C’est même spécifié.)[8]

Comment fonctionne-t-il ?

--Un bureau, une assemblée « générale » et trois groupes de travail (GT) dont les fonctions se recoupent. La méthodologie s’appuie sur énormément de modèles informatiques créés pour la circonstance[9]. Tous les 4 ou 5 ans, il publie un rapport (Assessment Report: AR) de plusieurs milliers de pages sensées[10] regrouper les rapports des groupes de travail. Après deux ou trois «résumés[11]», on arrive à un «résumé pour les décideurs» qui est remis aux autorités politiques «mères» de l’assemblée. Après encore deux élagages on arrive à quelques pages qui font la joie des journalistes pour gloser dessus.[12]

Ces rapports (AR n° ) reflètent-ils exactement les positions des scientifiques ?

--Il paraît évident qu’on ne peut pas reprendre exactement les résultats des travaux, encore moins les «remarques» des auteurs. Mais nous avons eu connaissance de beaucoup de réfutations internes de la position officialisée, ce qui a parfois entraîné des démissions de personnalités pourtant choisies par des gouvernements membres.

Sur quels faits sont fondés les travaux ?

--D’abord officiellement, des données récupérées par deux ou trois organismes internationaux (deux américains et un anglais, ce qui limite un peu la diversité!) et des articles publiés dans la presse scientifique. Dans la pratique, on a eu l’aveu du GIEC qu’avaient été considérés comme dignes de foi, des documents obtenus beaucoup moins sérieusement (et, en général, provenant des O.N.G., type Greenpeace[13], W.W.F…)[14]

Sur quelles bases sont pris en compte les travaux publiés ?

--Le principe est de ne prendre en compte que les travaux publiés dans plusieurs revues scientifiques à comité de lecture. Deux scandales ont montré que ce principe n’était pas systématiquement observé.[15]

Quels sont les outils utilisés pour travailler ?

--Il s’agit de modèles mathématiques informatisés.[16] Le principe de ces outils est fortement critiqué par les spécialistes de la modélisation, qui expliquent qu’ils ne peuvent conclure que ce pourquoi on les a programmés avec les infos dont on les a nourris.

Peut-on reconnaître le consensus sur les conclusions suivantes : il y a un réchauffement climatique global du à l’effet de serre augmenté par le CO2 de plus en plus produit par l’activité de l’homme depuis l’ère industrielle? Le principal est la responsabilité de l’homme. Peut-il influer sur le climat ?

-- D’abord, en matière de science le consensus n’existe pas. Une hypothèse structurée en théorie n’est reconnue qu’après avoir été démontrée par les faits ultérieurs. Le consensus n’est qu’une position politique plus ou moins imposée[17].

 --Deuxièmement, même après avoir appelé à la rescousse le pouvoir politique[18], même quand une autocensure (des scientifiques qui ne veulent pas perdre leurs crédits) s’est mise en place, nous disposons de beaucoup de réfutations, au minimum de doutes et de critiques négatives sur les méthodes, voire l’exactitude des chiffres.[19] Ces réfutations portées par des scientifiques, dont le nombre et la notoriété sont au moins équivalente à ceux de leurs contradicteurs, dénoncent les méthodes, les anomalies, les corrections de mesure, les «oublis» plus ou moins volontaires. Nous pouvons aussi faire état de conflits d’intérêt [20]qui se retrouvent parfois des deux côtés.  Beaucoup trop d’«affaires» entachent les différents rapports.[21]

 
 

Peut-on citer des exemples ?

--Concernant les courbes de température, deux exemples repris en annexe:

     La fameuse courbe de Mann, en « crosse de hockey », apparue dans le rapport de 1990 est la principale courbe qui a pu affoler, car sa forme indiquait sur les dernières années une pente asymptotique destructrice : où va-t-on s’arrêter ? Passons sur les valeurs qui restaient « humaines » (de l’ordre du degré Celsius). Mais elle négligeait arbitrairement des « relevés » de l’Optimum Médiéval (XIIè au XIVè siècle) qui présentaient des températures subies par l’homme nettement supérieures à celles d’aujourd’hui.[22] Or, personne ne pouvait alors mettre en cause une industrialisation, donc un CO2 anthropique à cette époque. Comme par hasard, cette courbe n’apparaît plus dans les rapports suivants. (Voir annexe 1)

       En 2012 le G.I.S.S., organisme officiel appartenant à la N.A.S.A. et fournisseur de données au G.I.E.C., reconnaissait avoir rectifié des résultats mesurés pour les corriger « mathématiquement ».  Le résultat était bien conforme à la mission du G.I.E.C.: apporter aux décideurs politiques des éléments scientifiques prouvant la responsabilité de l’homme sur le changement de climat[23] (voir annexe 3).

 Concernant des « oublis » : tous les scientifiques sont d’accord sur plusieurs points :

      D’abord, le CO2 n’est pas le G.E.S. (gaz à effet de serre) le plus efficace dans l’atmosphère. Or le plus important (en quantité (27 fois plus abondant)  et en force: 219 fois plus important que le CO2), c’est la vapeur d’eau (H2O) et elle est, entre autres, produite en même temps que le CO2 dans tous les processus complets[24] de combustion. De plus, étant plus légère que le CO2, elle a tendance à s’élever plus rapidement.[25] Le troisième plus important en quantité, (car en pouvoir il est bien supérieur au CO2) étant le méthane[26] dont on ne parlera pas ici, pour simplifier[27].

     Ensuite et cela paraît le point le plus important : même si le G.I.EC reconnaît que d’autres facteurs pourraient faire partie d’une liste de phénomènes influant sur le climat, il a déjà, dans son cahier des charges, négligé ces facteurs, sans aller plus loin. Alors évidemment, nombre de scientifiques spécialisés se sont élevé en faux contre cet a priori arbitraire. Parmi ces facteurs, on cite, naturellement le soleil, qu’on reconnaît cependant être à l’origine de réchauffement puisque sans soleil, pas d’effet de serre ! Ensuite et pêle-mêle, les courants océaniques (El Nino[28] et La Nina[29]) à l’origine de la plupart des tempêtes tropicales[30], les éruptions volcaniques[31], les tremblements de terre, la nébulosité en général (suscitée par la pollution[32] ou naturelle), les rayonnements de l’univers sidéral (« cosmiques [33]»), les modifications des données physiques de la terre par rapport à sa position par rapport au soleil, le magnétisme… Certains scientifiques (même des tenants de la thèse officielle dès les premiers jours) déclarent que ce dérèglement climatique est naturel et que l’homme a une prétention prométhéenne d’avoir une influence prépondérante sur le climat.[34]

Comment les tenants de la responsabilité humaine ont-ils interprété les inversions de sens de T.M.G. depuis 1850, alors que les émissions humaines de CO2 n’ont pas cessé de croître?

--Ils ont égalisé ces variations en traçant une courbe «moyenne», mais effectivement ils reconnaissent ne pas pouvoir expliquer le phénomène récent: dans les mesures officielles de T.M.G. (température moyenne[35] globale[36]) depuis 10 à 15 ans (1998-2000 à 2014 au moins), on a observé un palier inexplicable[37] si on considère l’augmentation massive des émissions anthropiques de CO2[38]. Ils ont même reconnu que si cela continuait il faudrait revoir les modèles informatiques!...

Peut-il y avoir confusion entre temps et climat [39]? Peut-on assimiler l’un à l’autre ?

--Effectivement : la météo s’occupe du temps de façon locale (en géographie) et ponctuelle (en temps horaire).[40] Le climat concerne une zone géographique avec des caractéristiques communes[41] Il s’étudie[42] sur de très longues périodes et reste dans un contexte géographique.[43]

Les instruments de mesure peuvent-ils influer ?

--Évidemment, non seulement eux mais leurs positionnements: les mesures satellites ne datent que de 30 ans et on est encore à discuter si leurs positionnements et leurs mesures peuvent se comparer aux mesures précédentes? (avec des appareils et des localisations différents et des fréquences de révision qui prêtent à discussion).[44]

Que dire du concept de Température Moyenne Globale?

 Du point de vue scientifique, c’est un non sens. La température est une grandeur intensive, c’est-à-dire qu’elle ne s’additionne pas, au contraire d’une quantité de chaleur. Donc faire une moyenne arithmétique de relevés ne représente aucune réalité. Encore plus si on globalise[45]. Donner des évolutions de température au dixième de degré (Celsius)[46], sur plusieurs années relève de la galéjade. Encore un peu plus, si on compare des résultats de mesure dans le temps, dans l’espace et suivant des protocoles différents, avec des appareils différents[47]. Un résultat arithmétique à la décimale près ne signifie d’ailleurs rien, car on peut placer la virgule n’importe où en utilisant des puissances de dix ou des unités différentes. Seul compte le pourcentage d’erreur et ce pourcentage est spécifique de chaque mesure.

Le CO2 est-il un produit si dangereux [48]?

--Évidemment non, en soi! Sauf s’il remplace l’oxygène dans nos poumons.[49] Les gens raisonnables vous diront qu’il est essentiel à la culture agricole, au même titre que l’eau. Il est reconnu que des épisodes où il était présent dans l’atmosphère à plus forte dose (relativement, car on parle ici de parties par million! Des centaines de parties par million ne représentent que des dix millièmes!) ont été des périodes de fortes croissances végétales. Alors il faut savoir ce que l’on veut: l’homme étant reconnu malfaisant par le CO2 néfaste produit, comment le CO2 existant en l’absence de l’homme peut-il être bienfaisant[50]? Quant aux températures: tout le monde parle de cette période peu éloignée de l’an mille où le Groenland était vert.

 

                                           L’ampleur de ce réchauffement est-il dangereux ?

Si on accepte que le réchauffement va continuer à ce rythme séculaire (qui s’avère indépendant du CO2), on aboutit, au plus, à un accroissement de 2°C d’ici 2100. S’en rendra-t-on compte[51] ? Le seul problème serait un accroissement brutal (impensable) de 10°C et une baisse correspondante, ce qui perturberait effectivement la nature. Comme on aura « moyenné », cela n’empêchera pas certaines régions de subir des conditions pour lesquelles il faudra s’adapter, comme toujours. Un des gros facteurs de réchauffement local est l’urbanisation désordonnée. Comme souvent, elle s’accompagne d’une profonde modification du terrain, un phénomène comme les inondations est à redouter.

Le concept d’effet de serre est-il adapté à ce réchauffement envisagé?

--L’effet de serre concerne des systèmes fermés (serres, vérandas…). Or l’atmosphère n’en est pas un et il existe en permanence des échanges entre l’atmosphère, la Terre et le monde sidéral. Ce qui est ainsi assimilé concerne l’absorption (ou l’émission) de rayonnements au passage dans les trois couches qui entourent la Terre[52]. Cette absorption concerne des bandes de longueur d’onde spécifiques à chaque gaz[53]. La saturation d’une de ces longueurs d’onde entraîne une suppression de la capacité d’absorption.[54].

Or, il semble que, dans notre cas, ce soient les longueurs d’onde de la vapeur d’eau qui jouent encore de l’effet.

Quelles sont ces catastrophes annoncées ?

--La canicule qui tue, la fonte des glaciers qui va faire monter le niveau des mers, engloutissant des larges parties de la planète, l’acidification et le réchauffement des océans entraînant la mort de nombreuses espèces, l’augmentation de la fréquence des évènements météo tels que tempêtes, tornades, cyclones, inondation, sécheresse, donc la mort de beaucoup d’individus, que sais-je encore? On a quand même exclu tremblements de terre et éruptions volcaniques.

      La canicule qui tue: Tue-t-elle plus que des causes sur lesquelles on a beaucoup plus de moyens d’action? (drogues, circulation…) Déjà, statistiquement, les froids terrestres actuels sont responsables de plus de morts que les chaleurs connues jusqu’à présent.[55]

      La fonte des glaciers: il faut distinguer les glaciers marins (banquise arctique ou antarctique) et les glaciers terrestres, ceux des montagnes continentales ou des terres arctiques (Groenland) ou antarctiques (en dehors de sa péninsule occidentale qui présente un régime particulier).

       Passons rapidement sur les premiers qui n’augmenteront pas le niveau des océans. Évidemment, l’impossibilité de marcher ou de se reposer posera des problèmes aux animaux correspondants. Signalons pour l’arctique qu’il existe encore un espace vivable en Alaska, au Groenland, voire au Canada.

      Pour les autres [56]: comme pour beaucoup d’exemples glaciers, il semble que la cause la plus évidente, soit plutôt un déficit de pluviosité (qui se transforme en glace à ces latitudes). Et les dernières observations prouvent que les glaces arctiques se régénèrent, grâce justement à une plus grande humidité (pluie ou neige).

      Pour les terrestres, passons sur leur faible importance relative, mais on touche aussi ici à un scandale où le G.I.E.C a publié officiellement une information non contrôlée sur la disparition des glaciers de l’Himalaya d’ici 2035[57]

Pour le reste, si on peut «craindre» un recul côtier léger, l’épaisseur de glace au Groenland et en Antarctique augmente.[58] Donc la submersion  correspondante ou l’épuisement de cette réserve d’eau n’est pas pour demain.

     La submersion des rivages,[59] entraînant des déplacements de population[60].

Pour l’instant, on ne retrouve pas, en général, les hausses annoncées, mais, évidemment les gouvernements des États correspondants seraient bien bêtes de ne pas geindre pour voir tomber les «aides»[61]. En effet, les États des îles prétendument menacées de submersion y voient une manne inespérée à récupérer au plus tôt.[62] Les plus actifs de ceux-là sont les membres de l’A.O.S.I.S. (« Alliance of Small Island States »), groupe de pression «O.N.U.sien» important, puisque représentant 44 États et 28% des pays en voie de développement. Les Maldives ont même pris les devants en projetant le premier night-club, un hôtel et un restaurant flottants.

    Les océans: Ils jouent le rôle de régulateur de chaleur (du fait de leur volume) et de CO2. Deux discours:

     « Ils se réchauffent et dégagent encore plus de CO2 qui réchauffe encore plus l’atmosphère, qui réchauffe les océans etc. »

     « Ils absorbent plus de CO2, donc s’acidifient, ce qui provoque la mort d’êtres marins basophiles. » Or la régulation naturelle fait que, en cas de déséquilibre en CO2, le CO2 peut être absorbé pour fabriquer des carbonates (de calcium principalement ou sodium ou magnésium). On touche là à la régulation naturelle de la nature, même en présence de l’homme. On nous parle aussi de mort du corail! Alors revenons en arrière: Pendant les périodes interglaciaires, l’élévation du niveau de l’océan a provoqué la formation d’îles continentales et de cayes[63] coralliennes et suscité de nouvelles phases de croissance du corail[64].

Cette régulation se fait aussi entre les différentes couches  de l’océan, comme il y a des échanges entre les couches de l’atmosphère.[65]

    Évènements météo «extrêmes»: comment justifier avec la même cause, sécheresse et inondation? Pendant des périodes chaudes, le Sahara a été verdoyant. N’est-ce pas encore un problème de déficit hydrique? Il pleut trop par ci ou à tel moment [66](et les transformations humaines telles que le bétonnage des voies, ne facilitent pas l’absorption) et il ne pleut pas assez par là. Les forêts[67], les barrages, les cultures jouent un rôle encore mal connu. Le G.I.E.C. n’étudie pas, par principe, d’autre cause que le CO2 humain, il ne s’intéresse donc pas aux perturbations océaniques provoquées par les deux grands courants mondiaux (El Nino, courant chaud et La Nina, courant froid), mais il impute ces désordres au réchauffement du à l’homme.

Dans ces évènements, comme dans la médecine[68], la difficulté est de les répertorier.[69]

    Quant aux tremblements de terre et tsunamis souvent associés, il est quand même de notoriété publique qu’il s’agit de mouvements de la croûte terrestre flottant sur un magma liquide (ce qui influe d’ailleurs sur les niveaux des mers, puisqu’il s’agit d’un mouvement relatif terre-mer : est-ce la terre qui s »enfonce ?)

Au cours de l'été 2005, on a pu lire dans les journaux que la fréquence des cyclones avait augmenté, ainsi que leur force. Il s'agit d'une complète imposture :

− Les Américains ne comptabilisaient correctement, jusqu'à un passé récent, que les cyclones de force 2 et au-delà ; maintenant, on comptabilise aussi les cyclones de force 1 (plusieurs centaines par an). Il en résulte mécaniquement (sur le plan de la comptabilité) une augmentation du nombre des cyclones. Mais ceux de force 2 et au-delà n'ont pas augmenté.

                                       Que penser des mesures politiques prises ou envisagées?

 --Plusieurs aspects: économique, social ou culturel. Le politique les dirige tous.
Économique : [70]

Tout cet argent dépensé en conférences largement médiatisées, réunions, rapports [71]etc. Pourquoi n’emploie-t-on pas cet argent à l’approvisionnement en eau et en nourriture, les ressources actuelles pouvant suffire?[72]

     Tout cet argent distribué profitera peut-être à des gouvernements; plus sûrement à des industriels, sans préjuger des conséquences en terme de résultats. Les chiffres actuels d’énergie renouvelable prennent en compte l’énergie hydroélectrique (barrages) déjà existante. Il faut que nos gouvernants se dép^chent de nous asséner toutes leurs contraintes (chères en plus), car on va s’apercevoir qu’on a seulement atteint une augmentation de 2°C, sans que leurs prétendues actions aient pu commencer à avoir un effet. Mais, parmi les 4 plus gros producteurs reconnus de CO2, en dehors des É.-U., deuxièmes, figurent 3 des membres du groupe BRICS : Russie, Inde et Chine. Lesquels réclament astucieusement des compensations financières.

Social :

Toutes les mesures prises sont d’un coût non négligeable[73], appauvrissantes et très contraignantes pour les populations sans effet sensible. [74] Les contraintes normatives  n’ont pas de fin. Tout cela pour un résultat infinitésimal.[75]

      Les nouvelles technologies, toujours contraignantes géographiquement (solaire, éolien, hydrolien, géothermie…) n’ont pas encore fait la preuve de leur innocuité.[76]

Culturel :

…..Enfin, de plus en plus, on voit apparaître un but assez effrayant: la réduction de la population mondiale, en prétendant que la Terre ne peut pas supporter la progression actuelle.[77] Les 17 objectifs de  développement durable qui seront adoptés par l’O.N.U. juste avant cette C.O.P.21 prévoient « d’autonomiser toutes les femmes et les filles,…[78]d’assurer la santé et l’éducation. On est loin du climat (au moins géographique).

 De quel droit peut-on remettre en cause la thèse officialisée par tant de gouvernements, de personnalités ?

    Nous n’avons pas les moyens de contrôler l’exactitude des chiffres exposés: en raison de leur nombre et de leur diversité. Nous observons seulement que officiels et sceptiques sur cette thèse de la responsabilité humaine d’un éventuel réchauffement climatique présentent des chiffres et des courbes pour étayer leur thèse. Nous n’avons pas, non plus le même nombre et la même qualité de documents sur plusieurs siècles.

   De plus, il y a une façon très pernicieuse de présenter une comparaison :

Un des étés les plus chauds : par rapport à combien d’étés ? (100 étés d’un siècle ??????) et de combien : voici le dernier exemple :

 Pour ce qui est des valeurs numériques rapportées par le GISS de la NASA, en réalité, la température globale revendiquée pour le mois de Juillet 2015 ne diffère que très très peu de celle des mois de 2011 et que les écarts sont très inférieurs aux marges d'incertitudes.[79]

 Selon la NASA : Juillet 2015 a été plus chaud que

Juillet 2011 de +0,01°C (un centième de degré !) Juillet 2009 de +0,03°C Juillet 1998 de +0,04°C

Compte tenu des marges d'incertitudes de ±0.1°C, en réalité, le mois de juillet 2015 est quasiment indiscernable de 9 à 12 autres mois de juillet des années précédentes. On peut faire un peu mieux en usant de méthodes statistiques élaborées à l'aide des centiles comme ci-dessus, si on admet que les méthodes d'homégénéisation des stations de mesure des températures sont valides.

Les données du RSS-MSU (Remote sensing system et Microwave Sounding Unit) nous racontent une toute autre histoire. La température de l'atmosphère proche de la planète au mois de Juillet 2015 n'a absolument pas battu de records. Les mois de Juillet 1998 et 2010 ont été très significativement plus chauds (environ +0,3°C) que Juillet 2015, comme on le voit sur le graphique. À noter que les données de la dernière version (V6) de l' UAH (université d’Alabama Hunstonville) qui utilisent des satellites et des méthodes différentes du RSS-MSU, sont très proches de ces dernières.

     Sémantiquement, en dehors des mesures brutes, il faut distinguer ce qui ressort de la corrélation (relation réciproque), de la coïncidence (sans relation autre que la date),  de la concomitance (simple simultanéité), de la conséquence (relation de cause à effet)[80].

   L’esprit critique requiert souvent du bon sens pour démêler l’écheveau.

Une hirondelle ne fait pas le printemps: les températures que nous relevons nous-même journellement ne peuvent pas nous permettre de parler d’un réchauffement atmosphérique global mesurable (au-delà de la marge d’erreur), continu et universel. Nous pouvons seulement dire: cet été à cet endroit nous a semblé plus chaud que d’ordinaire; cet hiver enneigé nous a paru plus long que d’habitude; cet ensoleillement nous a paru décalé (ce qui veut dire que nous avions moins de nuage ou de pluie).

Et naturellement, nous ne pouvons pas parler avec juste raison d’état du climat «de mémoire d’homme»![81]

 Ensuite, il n’y a jamais de consensus à 100%. Mais, dans ce cas-ci, il nous semble qu’on ne peut pas négliger l’opinion étayée d’une quantité au moins équivalente de scientifiques (en excluant alors les «troubadours» du climat) et de personnalités au jugement éprouvé par la suite.[82]

Enfin et surtout, nous pouvons constater les mensonges, les manœuvres malhonnêtes, les trucages, les incompétences (légèretés des «preuves») des tenants de la thèse officielle. Ceci est confirmé par le battage assourdissant, les moyens mis en œuvre, et la découverte, depuis 30 ans de l’idéologie qui accompagne cette campagne.

Résumé :

 Le concept de réchauffement climatique sous influence de l’homme est inspiré par une philosophie mondialiste de mise en condition de l’homme au profit d’une secte de personnalités qui veut instaurer un gouvernement mondial.

  Le G.I.E.C. est un organisme créé par un sous-produit de l’O.N.U., sans considération scientifique.

  Ses rapports ne reflètent pas la diversité des positions initiales exprimées par les scientifiques désignés. Ils sont, de plus, déformés dans le sens du pouvoir par les médias maintenus à flot par la publicité.

  Son unique mission est de chercher tout ce qui peut prouver la responsabilité de l’homme pour mieux le culpabiliser. (La culpabilisation rendra le peuple plus malléable et corvéable). Les influences naturelles possibles ont été systématiquement écartées, sans donner de preuves.

   Les seuls moyens utilisés sont des modèles mathématiques créés dans le but de valider la mission.

   Beaucoup trop de résultats ont été entachés de mauvaise foi, de tromperie délibérée. Les dénoncer attirent des foudres puissantes.

   Le consensus invoqué n’existe pas. Il a même tendance à laisser de plus en plus de fuites.

   Non seulement les catastrophes annoncées ne se produisent pas depuis presque 30 ans que le G.I.E.C. produit des rapports, mais nombre de « prévisions » ont été annihilées : la glace s’est reformée, surtout en Antarctique (cela gêne la « globalité »), les niveaux se sont stabilisés (de manières diverses suivant les régions), les océans ne se sont pas acidifiés. Quant aux évènements météo, ils ne peuvent pas être raccordés systématiquement au concept.

  Enfin, le G.I.E.C. lui-même, reconnaît que la température s’est, au moins, stabilisée depuis une quinzaine d’années, ce qui représenterait un « hiatus », car les fameux modèles n’avaient pas prévu cette stabilisation[83].

  Malgré cela, les gouvernements font un forcing pour imposer des mesures contraignantes et par définition non efficaces, puisque l’homme ne peut avoir qu’une influence infinitésimale (on compte le CO2 en I/10000 èmes), mais qui coûtent très cher.

  Il est symptomatique de constater les mensonges : si les tenants de l’influence humaine étaient si persuadés de la justesse de leur théorie, auraient-ils besoin de trucages et de falsifications ?

En conclusion: Il est remarquable que les tenants de la responsabilité humaine parlent de plus en plus de «changement» climatique, ce qui est un revirement sur le réchauffement et même de «dérèglement» climatique ce qui ne suppose pas obligatoirement une tendance unique, mais plutôt des errements qui, par définition, ne seraient pas commandés par une seule cause.[84]

Nous nous contenterons de refuser la thèse de la responsabilité (donc de son pouvoir de modifier) de l’homme dans un éventuel réchauffement atmosphérique.[85] Cela ne nous empêche pas de continuer à user de la nature, telle que Dieu nous l’a donnée, sans gaspillage[86]. Cela ne doit pas non plus faire refuser à l’avance toute avancée technique éprouvée.

Étouffés[87] peut-être, mais pas consentants. Une manipulation martelée ne définit pas une vérité. N’ayons pas peur d’aller à contre-courant : ce sont les poissons morts qui dérivent avec le courant. Contestons à chaque fois qu’on nous en parle. Nous avons bien assez d’arguments. Faire de la COP 21 la campagne principale de l’année 2015 est une escroquerie. Elle rentre dans la définition des critères idéologiques avec les trois dimensions[88]

Annexes:
I  Fausses références: courbe de Mann

1) En haut la courbe de Mann  en crosse de hockey,  obtenue en trafiquant arbitrairement la source.

2) Dessous, la courbe faisant état des relevés de l’Optimum Médiéval, «négligé» ou écarté par le G.I.E.C.

Y a-t-il réchauffement continu que devrait causer une augmentation continue de  l’émission humaine de CO2 ?

-      de 1882 à 1910, refroidissement

      - de 1910 à 1944, réchauffement
      - de 1944 à 1975, refroidissement

      - de 1975 à 2001, réchauffement (on peut d’ailleurs constater sur la figure suivante, que cette dernière date ne correspond pas: le palier commence à 1997)

 
2Palier de la TMG sur la dernière décennie

Naturellement ce palier est en fait une oscillation de 1/10°C (marge d’erreur) autour de la position d’équilibre à 14,4°C.

 

 Le piratage (en novembre 2009) de données du Climate Research Unit(CRU)   de l’Université d’East Anglia (À Norwich, GB), directeur M. Phil Jones (depuis 1998 ):

Il est fait état de manipulations « bizarres »: dans un courriel de mai 2008, Phil Jones demande à Mann de supprimer tous les courriels «que tu peux avoir avec Keith (Briffa) concernant l’AR4 (le 4è rapport du GIEC). Keith fera la même chose…Peux-tu aussi envoyer un courriel à Gene (Wahl) et lui dire de faire pareil?...On demandera à Caspar (Ammann) de faire la même chose.» Phil Jones fut innocenté par une commission présidée par Lord Oxburgh qui avait certains intérêts dans l’industrie des énergies vertes.

 

                              3Falsification de courbes de T par le GISS

L’aveu, par le GISS, (Goddard Insitute of Space Studies  de la NASA, basé à l’université de Columbia à New-York city), que «les données mesurées ne sont pas fiables et qu’il faut les corriger par un modèle informatique»! Le GISS a donc décidé, en 1999, d’effacer directement les données relevées sur des thermomètres pendant un siècle, pour les remplacer par des données issues d’un algorithme de leur fabrication. Courbes ci-dessous. Pourquoi corriger des données effectivement mesurées ?

4Quelques déclarations intéressantes :
Sur les mesures ou résultats publiés

      Robert H. Austin,  docteur en physique à Princeton: signataire de l'Oregon Petition : Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs

      Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : Ce qui menace la planète, ce n'est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d'une bonne cause.

       François Gervais (Professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, rapporteur critique auprès du GIEC – AR5). À la surface de la Terre, la pression est plus élevée et l’effet (de serre) est déjà presque saturé. De fait, la température n’augmente plus de façon significative ou mesurable dans les limites de l’incertitude expérimentale depuis presque 20 ans. Les glaces se sont reformées depuis 2012.

        Vaclav Klaus, ex-président tchèque: «La fausse menace de réchauffement climatique proposée par des gens comme Al Gore est l’une des plus grandes menaces contre la liberté dans le monde». / Réinfo TV 23/01/2015

       Gerd Leipold, le chef sortant de Greenpeace, a admis que la déclaration récente de son organisation que la glace de l'Arctique disparaîtra d'ici 2030 était "une erreur."( YouTube - Leader Greenpeace admet glaces de l'Arctique Exagération Soumis par marco le dim, 13/12/2009 - 18:03 URL: http://www.youtube.com/watch?v=NC7bE9jopXE)

        Phil Jones, directeur du CRU (université britannique) fournisseur du G.I.E.C. : Je me suis donné beaucoup de mal pour trouver un équilibre entre les besoins de la science et ceux du G.I.E.C.  qui n’ont pas été toujours les mêmes ! » En 2010,  il déclare que, depuis 15 ans, il n’y a pas eu de réchauffement statistiquement significatif : 0,0 5°C !

       Richard Lindzen (un des plus grands physiciens mondiaux de l’atmosphère) : «La responsabilité humaine n’est pas plausible».Conférence à New York en 2012.

       J. Lovelock, (le « découvreur » de Gaïa) : avril 2012 : « Nous pensions savoir, il y a 20 ans, où allait le climat. Cela a produit quelques livres alarmistes-les miens inclus-, mais ce qu’on prédisait ne s’est pas produit. Le climat joue ses tours habituels » (interview à la chaîne américaine MSNBC) En juin 2012(au Guardian) : « Une chose que la pratique de la science m’a enseignée, c’est qu’on ne peut jamais être sûr de rien. »

       Patrick Moore (un des fondateurs de Greenpeace en 1971): le CO2 n’est pas une mauvaise chose, il permet même de vivre : « Sans dioxyde de carbone au dessus de 150 parties par million, toutes les plantes mourraient…  Les écologistes (il en est !) alimentent les craintes et augmentent ainsi les dons, les politiciens semblent sauver la Terre de sa propre perte, les médias jouent sur le sensationnel, l’augmentation du nombre d’institutions permet la multiplication de subventions à coups de milliards, et crée donc de nouveaux départements qui servent à alimenter la frénésie mondiale ainsi que des scénarios effrayants »/ Réinfo Tv 25 mars 2015 (NdR : Et ainsi de suite : autopromotions valables en politique, en arts, à l’information).

      Werner Munter (Suisse spécialiste des avalanches : déclaration du 05/11/2014./ Blog échelle de Jacob au 14/01/2015) : «Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou le CO2, comme on nous le serine:

      1) Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu 5 pics de températures comparables à celui que nous vivons…Lors des 2 premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants…Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde son nombril. Il n’y a pas eu de corrélation  entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

      2) La concentration de CO2 dans l’atmosphère est négligeable (moins de 0,5% et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Soient 20 molécules de CO2 produites par l’homme pour un million de moles d’air.

     3) Argument de thermodynamique: que l’atmosphère (-30°C à 10km d’altitude) réchauffe la Terre, bien plus chaude est une aberration. La chaleur va toujours vers le froid. »

  Il conclut : « Ces gens sont des imbéciles qui répètent en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour. » (NdR : cela ressemble à la déclaration de P. Moore citée plus haut)

       Roger Revelle, dans un papier écrit en collaboration avec le professeur Fred Singer, (de l’Université de Virginie), et l’expert en énergie Chauncey Starr et publié dans le journal Cosmos, écrivait : « Des décisions fortes, brutales et monolithiques pour retarder l’impact des gaz à effet de serre pourraient avoir un coût élevé en matière d’emplois et de prospérité et pourraient également augmenter la pauvreté mondiale sans aucun effet positif » avant de conclure : « Les preuves scientifiques d’un réchauffement dû aux gaz à effet de serre sont trop minces pour justifier aujourd’hui des décisions aussi radicales. »

       Joanne Simpson, météorologue à la NASA : La thèse qui attribue le réchauffement climatique aux émissions de GES par l’homme se fonde exclusivement sur des modèles climatiques. Nous connaissons tous la fragilité de ces modèles concernant le système air-terre.

     F. Vahrenholt (L'un des tout premiers porte-drapeaux du mouvement vert en Allemagne est devenu climato-sceptique. (On parle maintenant de climatoréalistes, voir V. Courtillot) Il est titulaire d'un doctorat en Chimie et actuellement professeur au département de chimie de l'université de Hamburg. Tout ceci implique que Vahrenholt est parfaitement en mesure de suivre la littérature scientifique qui concerne le changement climatique.) : « Pendant de nombreuses années, je fus un militant du G.I.E.C. et de la théorie du CO2. Des expériences récentes avec ce Panel (le G.I.E.C.) m’ont néanmoins obligé à réviser ma position. En février 2010, je fus invité, en qualité de relecteur pour le rapport du G.I.E.C. sur les énergies renouvelables. J’ai alors réalisé que ce rapport était fait de manière tout à fait non scientifique : criblé d’erreurs et édité au final par un militant de Greenpeace (NdR : dont il a été fondateur !). J’en fus outré, me disant que si cela se passait ainsi pour ce rapport, il était possible que cela se passe de la même manière pour d’autres rapports du G.I.E.C. » (Daily Telegraph, juin 2012). Extraits de l'interview à « Die Welt », à propos de son livre « Le soleil froid » : …Parmi les 34 membres du secrétariat du G.I.E.C., la majorité vient du sud - tels que Cuba, le Soudan, Madagascar, Iran ou la Chine. Ces pays ont un grand intérêt aux transferts d'argent. Jusqu'alors j'avais pensé que les chercheurs se rassemblaient et discutaient. Non. En fait, ce sont des délégués qui représentent les nations et pas toujours des nations démocratiques. Ils représentent des intérêts et exercent leur influence."         

          R. Vivian, docteur en glaciologie, souligne que les glaciers sont plutôt en extension qu’en recul, mais que l’on occulte les endroits où ils se développent pour se focaliser sur les reculs locaux.[89] « …Ce disant, c’est oublier que les hommes ne sont pas grand-chose au regard des vicissitudes de la planète terre dans l’univers. »

 

Sur le Malthusianisme[90] associé à cette campagne:

     Le club de Rome (hébergé dans la propriété italienne de Rockefeller !![91]), dès 1972, prônait le contrôle des naissances. En 2007, le mouvement écologiste australien DEEP Ecology  propose de laisser mourir les nouveaux nés handicapés.

     La fondation allemande « Population mondiale », de Berlin, a déclaré, avant Copenhague (En 2009 [92], 15è conférence pour le climat, C.O.P.15, Conference Of Parties)[93]: le contrôle des naissances est favorable au climat.

     Pour lutter contre la pauvreté comme le demandent les Objectifs du Millénaire de l’O.N.U., les experts estiment que la hausse de la population doit fortement ralentir. La condition préalable à cela est la réalisation du «droit à la santé sexuelle et reproductive [94]», comme le formulent les accords internationaux[95]

La croissance zéro (en démographie) devrait être atteinte entre 2050 et 2060. Les mondialistes[96] se félicitent (alors que cela signifie un vieillissement de la population et la charge des vieux de plus en plus lourde, ce qui justifie l’euthanasie.[97])

        Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai  2012 a révélé la tenue d’une réunion secrète, à l’initiative de Bill Gates, qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.[98]

      L’U.N.F.P.A. (Fonds des nations unies pour la population) déclare: la natalité galopante des pays en développement est l’un des principaux moteurs du réchauffement et l’un de ses premiers risques [99]Il parle de «maîtrise de la santé reproductive»[100]

Henri Leridon,[101]explique: l’U.N.F.P.A.( en anglo-saxon :F.N.U.A.P., voir ci-dessus) veut récupérer l’enjeu du climat pour alimenter son fonds de commerce.[102]

«Procréer est aujourd’hui un délit écologique» nous dit Ricardo Pasolini[103]

Le député «vert» Yves Cochet proposait de limiter les naissances en France à un enfant.

Est-ce éloigné de notre sujet? «L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants sont le problème qu’il faut éliminer.»[104]

Plus des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme d’«empreinte écologique»). Les auteurs en viennent à demander la «réduction de la population, de la consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des services». Pour la première fois, le W.W.F[105]. s’en prend même à la consommation d’eau. Alors que d’autres voix[106] ont du mal à se faire entendre, quand elles disent qu’il y a, actuellement suffisamment pour abreuver et nourrir 9 milliards d’individus. Qui l’emportera?

Le critère d’«empreinte écologique»[107] dont se sert le W.W.F. fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust, qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus. (NdR : c’est le chiffre le plus élevé dans ce genre, on dirait presque merci)

           Alors, nos modernes défenseurs de la nature se réjouiraient-ils des catastrophes annoncées?

 

5 Quelques livres étudiés en détail:

Aguesse P. [108]: L’écologie ; Science ou politique? : /Éd. Persée-2011

Allègre P. : L’imposture climatique ou la fausse écologie : (avec D. de Montvalon)  Plon-2009

Ma vérité sur la planète / Plon 2007

Bernardin P. :L’empire écologique ou la subversion de l’écologie par le mondialisme/  N-D. des Grâces 1998.

Gerondeau C.:    Écologie, la grande Arnaque / Albin Michel2007

 CO2, un mythe planétaire : /Éd. du Toucan -2009

Écologie, la fin : 20 ans de décisions ruineuses: / Éd. du Toucan -2012

Gervais F. :         L’innocence du carbone. L’effet de serre remis en question. Contre les idées reçues /Albin Michel

 (On peut utilement consulter les récentes interviews ou conférences qu’il a données cette année 2015).

Larminat (S. de): Les contre-vérités de l’écologisme. Préface de J-M Nesme, /Salvator Diffusion-2011

 

                 Autres livres exploités : Certains titres sont très explicites. (Ils ne sont pas tous du même bord)

 Acot P. : Climat, un débat dévoyé /A. Colin 2010

 Bard E. : L’homme et le climat, une liaison dangereuse/Gallimard

 Belouve  J-M : La servitude climatique

 Berger A. : Climat de la Terre : un passé, quel avenir ? de Boeck Université (sous droits d’auteur)

 Bes de Berc  G. : Nos limites. Pour une écologie intégrale / Le Centurion 

 Courtillot V. : Nouveau voyage au centre de la terre/Odile Jacob

 Cabrol L. : Et si la Terre s’en sortait toute seule/Le cherche midi

 Furfari S. : L’écologie au pays des merveilles : mirages et vérités du développement durable

 Galam S. : Les scientifiques ont perdu le Nord : réflexions sur le réchauffement climatique/ Plon

 Huet S. : L’imposteur, c’est lui : réponse à C. Allègre. /Stock 2010

 Jancovici JM : Le réchauffement climatique expliqué à ma fille

 Kandel R. : Le réchauffement climatique / P.U.F. 2010

 Larminat (de) P. : Changement climatique : identifications et projections/ Iste 2014

 Legendre A. : L’homme est-il responsable du réchauffement  climatique ? / E.D.P. Sciences 2009

 Lenoir Y. :           Servitude climatique : changement climatique, business et politique

Vérité sur l’effet de serre, dossier d’une manipulation[109] planifiée/ Éditions La Découverte, 1992

 Leroux M. :         Réchauffement planétaire, mythe ou réalité ? Les errements de la climatologie

Climat de panique/ Favre 2001
Dynamique du temps/ Dunod 1996

 Lovelock J. :       La Terre est un être vivant : l’hypothèse Gaïa/ Champs Sciences, 1979.

 Marko I. : (Équipe sous la direction de…) Climat, 15 vérités qui dérangent

 Meynard  F. :      La légende de l’effet de serre : manuel de démystification des problèmes et faux problèmes climatiques/ Favre

 Rittaud B. :         Le mythe climatique/ Seuil 2010
La peur exponentielle/ P.U.F. 2015

 Staune J. :            La science en otage. Comment certains industriels, écologistes… nous manipulent/ Presse de la renaissance 2010

 Verdier P. :           Climat Investigations / Ring en octobre 2015[110] partisan de l’influence humaine, mais dénonce les tripatouillages du G.I.E.C. et autour de cette fameuse C.O.P. 21.

 Verlinde J-M (père): L’idéologie verte : les dérives de l’écologie/ Livre ouvert 2013

 

La liste des sites (du Net) francophones est très importante. En voici quelques-uns :

Climat sceptique, malheureusement stabilisé (dans ses mises à jour) à 2008.

Skyfall

Le blog de Laurent Cabrol

Réchauffement médiatique, québecois ;

Catastrophe climatique

Papy Jako

Le blog de Benoît Rittaud : Climat de Terreur

Pensée unique

Liberté politique

Liberté chérie

 Et de nombreuses video plus ou moins cité plus haut. (T.V. Libertés etc.)

 

Condensé pour les impatients :

Responsabilité humaine sur un réchauffement climatique depuis 1850, par action du CO2 envoyé dans l’atmosphère par les activités industrielles.

 

1)       Ce réchauffement qui s’appuierait sur une T.M.G., non sens technique, est loin d’être prouvé, puisqu’il resterait trop faible et se serait au moins arrêté (même d’après ses supporters) depuis une quinzaine d’années, alors que l’émission de CO2 anthropique a nettement augmenté.

2)       Le CO2 produit depuis 1850, très inégal selon les régions du globe à des niveaux de développement industriel très différents, ne compterait pour rien dans la composition de l’atmosphère. En revanche, il pourrait fluctuer justement en fonction de la température, avec un décalage plus ou moins important.

3)       Le CO2 est nettement dépassé en « effet de serre » par la vapeur d’eau, elle aussi produite en même temps que le CO2 dans les processus industriels qui sont des combustions en présence d’oxygène.

4)       La campagne issue des travaux du G.I.E.C. (I.P.C.C. en anglo-saxon) a été enclenchée en vue d’établir un gouvernement mondial (de l’aveu de ses parrains, les mondialistes) ce qui n’a pas grand chose à voir avec le sauvetage de la planète menacée par ces affreux hommes. Derrière on retrouve un des objectifs de cette oligarchie : la réduction de la population mondiale par tous les moyens : destruction de la famille, libération sexuelle tous azimut. Qui ne voit pas, dans l’encensement de la Terre-mère Gaïa, la main du démon ?

5)       Qui accepterait une étude sur le climat excluant d’emblée tous les autres facteurs d’influence, en particulier un des éléments qui réchauffe et s’appelle le soleil ?

6)       Pour arriver au but qui est de trouver des arguments prouvant la responsabilité de l’homme, trucages, falsifications, utilisations de données non vérifiées, mise à l’écart des contradicteurs (quel consensus ?), utilisant de moyens matériels créés a priori pour prouver ce qu’on veut démontrer.

7)       Annonce de catastrophes qu’on attend toujours depuis 30 ans[111] Captation intellectuelle de catastrophes sans rapport avec la température de l’atmosphère. Refus de voir que les glaces se reconstituent en Arctique et qu’elles ont nettement augmenté en Antarctique.

8)       Fabrication de films catastrophistes. Embauche de bateleurs d’estrade, type Nicolas Hulot, jusque dans des élections présidentielles. Faire passer la pilule de mesures très contraignantes en créant l’angoisse. Comme si des situations plus terre à terre à l’intérieur de nos foyers n’étaient pas prioritaires.

                             Nous retrouvons ici les ingrédients d’une manipulation degroupe :

1)       Créer un danger qui n’existe pas.

2)       Revendiquer posséder une connaissance supérieure que ces seuls manipulateurs peuvent comprendre.

3)       Fournir juste assez de « preuves » (sic) à l’appui aux masses non encore lessivées. (dans le cerveau)

4)       Offrir une solution illusoire à la menace imaginaire, solution qui implique de très gros sacrifices de la part des masses. (voir les chiffres de la COP 21, ci-dessous)

5)       Recueillir ce sacrifice comme venant d’eux-mêmes.

6)       Réécrire l’histoire pour cacher les divergences.

 

                                La COP 21 et CMP11 (Conference Meeting of the Parties : conférence des signataires de l’accord de Kyoto en 1997) : du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris Le Bourget. La plus grosse manifestation mondiale. La nème dernière chance pour la planète.

                                Quelques chiffres :

80 000 m2 de surfaces temporaires à construire. 50 prestataires mobilisés pour l’aménagement

20 000 personnes accréditées. Plus de 3 000 journalistes accrédités. 20 000 visiteurs accueillis. (Pas de public ?)

195 pays plus Union européenne représentés. 117 organisations participantes à la mise en place.

Budget de 170 millions $ (100 millions prévus pour l’I.d.F. : hébergement (il faudra héberger tout ce petit monde), restauration, achats. Tout cela, est-ce bon pour la planète ? Cela dure depuis 25 ans.

Objectif : mobiliser 100 milliards$ /an par les pays développés (dont la Russie et la Chine ne font pas partie, mais sont dans les B.R.I.C.S[112]. !) à partir de 2020 (comme si on n’avait pas déjà commencé !)

Ière capitalisation du Fonds Vert pour le climat : 10,2 milliards $ pour cet engagement : pas plus de 2°c d’augmentation, en 2100, par rapport à 1850. [113]

 À noter que l’on parle officiellement de dérèglement climatique. En quoi consisterait-il ? S’il y a autre chose que la température (Moyenne Globale comme il se doit), en quoi l’homme prométhéen[114] pourrait intervenir ?



[1] En dehors de tous les empires matérialisés à partir de nations, le concept de gouvernement du monde était déjà dans l’esprit de la Société des nations. (Cf John Keynes, en 1920 à la conférence de Paris.) En 1992, la conférence de Rio (sommet de la Terre) avec 77 organisations internationales et plus de 155 pays (cf P. Bernardin/ L’empire écologique) publie un document appelé « agenda 21 » où est indiquée la suprématie de l’assemblée générale de l’O.N.U. Et le Figaro publie déjà un « trompe l’esprit » : « le mythe du gouvernement mondial » (15/12/1995)

[2] Conférence de Montréal (87) sur le trou d’ozone : déjà une centaine de scientifiques (des dignitaires de la N.A.S.A.,      muselés) s’insurgent sur la mise en cause de l’homme. Le précédent était déclenché pour l’étendre à grande échelle.

[3] Il avait déjà été visualisé dès 1926 ! Et en 97, (27/01 au Costa Rica) Paul Crutzen, Nobel de chimie, déclarait que la couche se détériorait à un rythme très ralenti. La campagne a bien servi les intérêts de la compagnie Dupont de Nemours.

[4] Que ceux qui ne croient pas au mondialisme lisent plutôt « Les pieds nickelés » !

[5] Au début, 3 noms ressortent : Bolin, météorologiste suédois, président du G.I.E.C. jusqu’en 1997. M. Strong, canadien, ex-directeur adjoint du secrétariat des Nations-Unies, directeur du P.N.U.D., programme environnemental de l’ONU, ami de Rockefeller, J. Hansen, américain, ex-directeur d’1 des départements de la N.A.S.A.

[6] On n’a pas pu trouver de liste exhaustive.

[7] Organismes non gouvernementaux, au financement plus ou moins bien connus. (Sûrement pas seulement par les adhésions particulières !)

[8] Les autres causes envisageables: le soleil, les nuages, l’excentricité de l’orbite terrestre, l’inclinaison de l’axe, l’emplacement du système solaire dans la galaxie, l’activité des tâches solaires (rayonnement cosmique)…

[9] Modèles basés sur la connaissance, a priori, des lois de la physique climatique. La boucle est bouclée !

[10] Car, en réalité, nombre de rédacteurs n’ont pas pu retrouver leurs propos.

[11] Ce qui ferait justifier la suppression d’un certain nombre de communications, passées par pertes et profits.

[12] Gloser : critiquer, censurer

[13] Cette association prétend vivre seulement des cotisations de ses adhérents. Vu l’estimation des actions menées et du matériel employé, des grandes sociétés industrielles doivent subventionner. Remarquons que Greenpeace ne s’est jamais attaquée nommément aux pétroliers américains.

[14] Scandales de la fonte des glaciers de l’Himalaya, de la diminution des forêts amazoniennes par des incendies… Encore récemment (2011), c’est un membre de Greenpeace (Sven Teske), qui a inspiré au G.I.E.C. un rapport  consacré aux énergies renouvelables affirmant que, moyennant subventions bien sûr, les énergies renouvelables pourraient assurer 77% de l’apport d’énergie totale de la planète pour 2050 alors que l’agence internationale de l’énergie (A.I.E.) parle de 18% à 25% (y compris l’hydraulique) en 2030, avec 48 000 milliards de dollars d’investissement (ce qui semble donc irréalisable) .

Au total, les journalistes du Telegraph, Richard Gray et Rebecca Lefort ont relevé, dans le seul rapport 2007, 16 utilisations de documents émanant du W.W.F., non révisés par des scientifiques. D’autres en ont compté 94.

[15] Utilisation de simples réflexions de touristes reçues par une ONG, interversion de chiffres dans les dates.

[16] Voir P. de Larminat, dans Monde et Vie (n°898) de novembre 2014, cité dans le n° 237 de la revue de l’AFS (Action Familiale et scolaire, 38 avenue Niel, Paris 17.)

[17]Le manque de preuves était le principal reproche (en dehors de ses rétractations successives) fait à Galilée quand il a repris les travaux que Copernic avait publiés comme une théorie qui ne sera confirmée que deux siècles après. L’autre reproche important était de dériver sur le plan théologique en mettant en doute la Bible.

[18] Exemple français: la ministre de la recherche convoquant l’académie des Sciences pour statuer sur ce sujet.

[19] Il s’est même constitué un anti G.I.E.C., sous le nom de N.I.P.C.C. : en 2008, il déclare : « c’est la nature et non l’activité humaine qui détermine le climat (d’après « Objectif liberté », sur 110 travaux !). La Global Warming Policy Foundation a mis en place une enquête sur les températures, avec mission auprès du pape François pour le mettre en garde contre les fausses informations. (D’après le journal « Le Telegraph » en juin 2015)

[20] Partout il y a un conflit d’intérêts possible : Un chercheur ne peut pas se subventionner tout seul. Donc les payeurs peuvent avoir tendance, au moins, à filtrer les rapports.

[21] Même si, adroitement, on élève le chiffre de la sûreté des conclusions (de 80% passée à plus de 90% maintenant) comme celui du pourcentage de chercheurs en phase avec le discours officiel (passé de 66% en 2001 à 95% maintenant.) Nous ne connaissons pas le chiffre total de chercheurs. Sur quels faits se fondent ces statistiques puisqu’il aurait fallu qu’on nous dise comment a été demandé cet accord ?

[22] Voir les deux figures en annexe.

[23] Nous utilisons ce nouveau concept proposé par des personnalités qui ne se sentent plus en mesure de prouver un réchauffement continu en concordance avec les émissions humaines de CO2.

[24] Complets signifie en présence suffisante d’oxygène.

[25] Nous voulons faire allusion ici au fait que le monde végétal à la surface de la terre utilise aussi CO2 (plus lourd que l’air) et eau. Évidemment, les mers ont aussi une interaction avec le CO2 et l’eau.

[26] Lequel s’oxyde peu à peu au contact de l’air.

[27] Simplification motivée par sa plus faible concentration.

[28] Le courant chaud.

[29] Le courant froid.

[30] Le mot « tempête » est ici employé génériquement pour désigner les typhons, cyclones, ouragans etc.

[31] Une nouvelle théorie les rend responsables de la disparition des dinosaures.

[32] Certains ont mis en cause la lutte contre les pluies acides qui a supprimé les aérosols diminuant l’effet de serre.

[33] Ou astro-particules : flux de particules de haute énergie qui circulent dans le vide interstellaire, de sources galactiques ou extra. Les particules de basse énergie constituant la ceinture de Van Allen.

[34] Voir les déclarations du suisse spécialiste des avalanches : Werner Munter. En Annexe.

[35] Ce qui n’a aucun sens, car la température est une valeur intensive (qu’on ne peut pas soumettre à des calculs arithmétiques). À 40°C, fait-il  2 fois plus chaud qu’à 20°C ? Et de 313 °K à 293°K ? (O° Kelvin absolu :-273°C)

[36] Ce qui n’a pas de sens non plus, car il est arbitraire d’affecter des pondérations suivant le lieu ou les instruments de mesure utilisés.

[37]Le cinquième rapport du G.I.E.C. confirme que le taux de réchauffement a été réduit à 0,05 °C par décennie entre 1998 et 2012 contre 0,12 °C par décennie entre 1951 et 2012. Ce n’est pas du à l’action des pouvoirs publics.

[38] Différence de l’ordre du 1/10 de degré C, soit largement dans la marge d’erreurs. À noter que le réchauffement noté pour le XXè siècle est situé entre 0,6 et 0,8°C. Moins que l’écart de température entre Lille et Nice !

[39] V. Leroux : Ce sont les variations d’intensité de la somme des processus météo qui constituent le climat.

[40] Lire que la météo prévoit pour 2100, dans 85 ans donc, des jours de canicule identiques à ceux de juin juillet 2015 sur l’Europe, serait à pouffer de rire, quand elle reconnaît que ses prévisions actuelles ne peuvent pas dépasser huit jour en fonction de zones de pression et de leurs déplacements.

[41] Équatorial, tropical, méditerranéen, continental, désertique, montagneux, océanique, arctique ou antarctique…, savante composition de températures, pluviosité, altitudes, ensoleillement, proximité de la mer, latitude…

[42] On n’ose pas donner de chiffres qui ne signifient rien. Donc on parle de climat sec, climat humide, urbain, montagneux etc.

[43] L’amplitude de températures repérées sur terre dépasse largement les prévisions apocalyptiques du GIEC : grossièrement, de -50°C à +50°C!

[44] Les mesures par satellite sont faites à 17km d’altitude, dans la basse stratosphère où la théorie de l’effet de serre prévoit la signature la plus forte. Les températures au sol où l’effet est saturé, sont plus indépendantes de cet effet.

[45] Une carotte et un navet constituent deux légumes, mais que signifiera un poids moyen?

[46] Personnellement, j’ai de la difficulté à additionner des degrés Fahrenheit !

[47]  En particulier, les mesures satellitaires s’écartent notablement de la tendance annoncée par les thermomètres (plus propices aux « ajustements ») qui accentuent notablement un réchauffement.

[48] Tout le monde admet que c’est la dose qui fait le poison: trop d’oxygène brûle vos poumons, de l’eau remplissant vos poumons vous conduit à la mort. Le CO2 était détecté par la mort du chien qui accompagnait le vigneron dans sa cave de fermentation.

[49] Les pompiers utilisent de la neige carbonique (du CO2) qui est envoyée dans l’air ambiant, en petite quantité.

[50] N’entrons pas dans le domaine technique des isotopes du carbone et de l’oxygène !

[51] En France, entre le vendredi 5 juin 2015 et le samedi 6 juin, la température (TMG !) a chuté d’environ 15°C en 24h. Et on parle de 0,3 à 0,6°C sur 20 ans !

[52] Pour les techniciens: atmosphère, troposphère et stratosphère.

[53] Au sol il est presque saturé.

[54] Phénomène annoncé par les spécialistes actuels pour le CO2. Admirons l’autorégulation de cette nature !

[55] « En analysant la plus grande base de données existante sur les décès liés à la température, nous avons découvert que la majorité de ces décès se produisent en réalité lors de journées modérément chaudes ou froides et que la majeure partie interviennent lorsque les températures sont modérément froides », souligne le Dr Antonio Gasparrini de la London School of Hygiene and Tropical Medicine qui a coordonné ces travaux. Ce qui fait supposer qu’ils savent n’avoir aucune influence dessus. Étude de référence: Mortality risk attributable to high and low ambient temperature: a multicountry observational study, The Lancet, 20 May 2015, DOI: http://dx.doi.org/10.1016/S0140-6736(14)62114-0

[56] Nous ne sommes pas sûrs qu’une hypothétique libération du pôle Nord serait mal vue des gouvernements limitrophes puisque les fonds recèlent des ressources intéressantes.

[57] En plus d’une faute de frappe qui remplaçait 2053, par 2035! La relecture était de «bonne qualité»!

[58] À noter que  pour la Sibérie, le permafrost paraîtrait fondre par en-dessous, ce qui exclut la chaleur de l’atmosphère et fait plutôt penser aux modifications internes à la Terre. D’autant plus qu’on note un refroidissement en Sibérie.

[59] La Terre n'est pas un solide indéformable. La Lune, en particulier, exerce un effet d'attraction sur la terre ferme qui, en Bretagne, se soulève deux fois par jour d'environ 30 cm (marées terrestres).

[60] Ne pleurons pas des larmes de crocodiles alors que tout le progrès technique pousse les gens à affluer vers les villes ou, au moins, à déserter ces îles où les difficultés d’approvisionnement et la dureté des travaux poussent déjà les jeunes à partir. Rappelons aussi qu’un «réfugié climatique» d’une des îles concernées dans le Pacifique a été renvoyé dans son île par les autorités néozélandaises. Motif: il n’est pas envisagé que son île soit submergée !

[61] Comme la demande d’aide de la Chine pour réduire ses émissions de CO2 alors qu’elle est la deuxième puissance économique mondiale et qu’elle continue à construire des centrales à charbon.

[62] On voit bien le souci de recevoir avant que la supercherie dont ils profitent ne soit dégonflée. Au début, on parlait de 2100, maintenant plutôt 2030 !

[63] Zone proche d’une côte caractérisée par une faible profondeur, souvent en sable et composée de corail.

[64] Il semblerait actuellement que les corails détruits sont morts par attaque parasitaire.

[65] Ce qui explique que le concept d’effet de serre soit inadapté, dans la mesure où il s’agit d’un système ouvert, en échange permanent avec le voisin.

[66] L’épisode récent de pluies torrentielles brutales très ponctuelles et fugaces sur la côte d’Azur en début octobre 2015, n’a pas pu être mis sur le dos du réchauffement. (Ses effets ont été augmentés par l’urbanisation).

[67] Certains disent même que les forêts jouent un rôle néfaste sur le réchauffement, car elles diminuent la réflexion (albedo, en langage technique). Mais alors, prend on en considération leur capacité de rétention d’humidité? Quelle part attribuer à tous ces phénomènes parfois contraires?

[68] Ce n’est pas parce qu’on ne connaissait pas les cancers auparavant que des hommes ne mouraient pas d’un cancer (en dehors de toutes les statistiques de durée de vie). Donc on n’avait pas de statistiques valables. On ne parle pas des causes multiples qui interfèrent et auxquelles il faudrait associer des pondérations !

[69]Dans l’évaluation des catastrophes on évalue l’importance par le nombre de personnes physiques atteintes et les dégâts matériels car cette évaluation provient surtout des sociétés de réassurance. De plus le rapport est énoncé pour des catastrophes liées au climat et non au prétendu réchauffement climatique

[70] La Banque mondiale a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre planète par effet de serre en dessous du seuil de 2°C. Taxons au plus tôt avant que la nature ne nous contredise, en ayant régulé toute seule.

[71]Quand on sait que Copenhague (empreinte carbone : 46 200 t de CO2, combien pour Paris ?) a été l’équivalent de la quantité totale de CO2 émise par les 4 pays du monde les plus frugaux en CO2 (selon la liste CDIAC, Carbon Dioxide Information Analysis Center) : Burundi, Mali, RCA, Tchad, soient 40 millions d’hommes, pendant 4 ans, on mesure le souci de protection du climat des organisateurs. De qui se moque-t-on ? De qui se moque-t-on? Le sommet dit COP 21 (de Paris décembre 2015) a déjà fait beaucoup dépensé et consommé en réunions préparatoires.

[72] Sans préjuger des ressources développées dans le futur, pour répondre à une augmentation de la population.

[73] L’A.I.E., agence pour l’énergie, chiffre à 48 000 milliards de dollars d’ici 2030 le montant des investissements pour que la part mondiale des énergies renouvelables passe seulement de 18 à 25%. Alors les chiffres annoncés par nos écolos sont farfelus. Et nous serons affublés de panneaux solaires, hydroliennes, éoliennes etc.

[74] En 1994, le banquier David Rockefeller a dit devant le «U.N ; Business Council», le comité économique de l’O.N.U.: «Nous sommes au début d’un bouleversement mondial. Tout ce dont nous avons besoin est une crise immense, et les nations accepteront le nouvel ordre mondial.» p. 574 de Wolfgang Thüne, Propheten im Kampf um den Klimathron, 2011.

[75] Giraudon, géologue, docteur ès sciences, explique : « la France, en divisant par 4 ses émissions de GES (Ndr : Tous ?) à l’horizon 2050, aurait le même effet que d’enlever le 1/5 du contenu d’une cuillère à café dans une cuve de 1000 litres ». (Décembre 2009) C’est parlant ! Naturellement les réfutations sont sommaires.

[76] Faible rendement ou possibilité d’utilisation : les éoliennes tributaires du vent, le solaire, du soleil.

[77] Ce qui pose des questions sur la finalité des travaux concernant «l’homme artificiel».

[78] Cette distinction dévoile ce dont il s’agit. Et la « santé reproductive » consiste à faciliter la négation de la reproduction !

[79] Là encore, le discours est astucieux : « l’un des mois les plus chauds » : si l’on considère beaucoup d’années, on arrivera à recouper avec « l’un des mois les plus froids »

[80] Sur plusieurs siècles, les études ont montré que l’augmentation de température a largement précédé l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère!

[81]  À propos de mémoire, les analyses de carottes glaciaires ou de cernes d’arbres ne sont pas fiables en ce qui concerne la température, car elles dépendant de beaucoup d’autres choses.

[82] Rappelons nous la polémique entre Tazieff et son chef Allègre, en 1976, sur le volcan de la Soufrière, dans les Antilles françaises.

[83] Jean Jouzel 19 mars 2010 : «  Ceci étant, il est nulle part écrit que les températures doivent augmenter tous les ans avec la régularité du métronome et coller à l’augmentation de la concentration de CO2. Si dans dix ou quinze ans, la température n’avait pas changé, il faudrait bien sûr se poser des questions. »  Alors quelle est la cause ?

[84] Pour la France métropolitaine, l’été a paru chaud et sec pour certains, catastrophiquement orageux pour d’autres et la France est toute petite !

[85] Nous utilisons « atmosphérique » car nous n’avons pas d’exemple de température dans le sol!

[86] La société de consommation ne correspond pas à notre idéal chrétien.

[87] Le bourrage de crâne sur la COP (Conférence Of the Parties) 21 à Paris fin novembre 2015 est omniprésent : dans les médias, dans la pub, à l’école, dans les squares, sur les panneaux municipaux... Mais le périodique Marianne écrivait en octobre 2015 : « A-t-on encore le droit de débattre ? »   Il est maintenant question de faire d’un débat sur la question, un délit ! ( du style du révisionnisme ?) Déjà la COP 15 à Copenhague était la dernière chance de sauver la planète. Au bout de 21 conférences n’as-t-on pas épuisé « la » dernière chance ?

79 Une idéologie est un système prédéfini d'idées, appelées aussi catégories, à partir desquelles la réalité est analysée, par opposition à une connaissance intuitive de la réalité sensible perçue. De tels systèmes considérés comme idéologiques existent dans les domaines politique, social, économique et bien sûr religieux. Une idéologie est souvent la dimension culturelle d’une institution sociale ou d'un système de pouvoir. Une idéologie est typiquement imposée d’autorité, par un endoctrinement (enseignement) ou de façon imperceptible dans la vie courante (famille, media). Une idéologie dominante est diffuse et omniprésente, mais généralement invisible pour celui qui la partage du fait même qu'elle fonde la façon de voir le monde.

On peut distinguer dans une idéologie les dimensions :

 Cognitive : dogmes, croyances (« c'est ainsi ») ;

 Morale : jugements, valeurs (« c'est bien ; c'est mal ») ;

 Normative : les normes (« il faut ; on doit »).

 

[89] Ainsi on allie la manipulation des données à la sélection des données qui vous arrangent.

[90] Le pasteur anglican T. Malthus publie en 1798 : Essai sur le principe de population.

[91] Coucou, on retrouve les mêmes. Ce n’est pas un complot mondialiste. (Non, si complot entraîne secret, puisqu’ils ont annoncé la couleur : c’est une méthode infaillible pour endormir les naïfs : « Ce n’est pas possible. Ils se vantent quand ils disent cela ouvertement. Si c’était leur mauvaise intention ils ne le diraient pas ». À ce tarif là il faudrait parler d’ « intention prolongée à travers les générations par des personnes de même idéologie ». Il faut relire S. de Larminat qui parle « des fondements trompeurs de l’écologisme » héritiers de la pensée d’Auguste Comte. Il rappelle le rôle de la Rockefeller Brothers Fund, entre autres. Il démonte parfaitement les rouages associant le contrôle de la population et l’écrasement financier conséquence de la campagne du G.I.E.C., avec l’ « ancienne divinité à abattre ! Il parle d’une forme de terrorisme qui s’avance masquée ! Il dit cependant : « S’il devait y avoir un complot, on penserait plutôt à celui d’une de ces bêtes de l’apocalypse » (p.218 de « Contrevérités de l’écologisme). En 2007, le Vatican a émis de sérieux doutes sur cette question de la responsabilité. Depuis le nouveau pape s’est laissé influencer en sens contraire, malgré justement les faits qui étaient pour le moins en désaccord. « La Terre-mère », (différente de la Terre-sœur), c’est GaÏa !

[92] Ière COP : La Haye en 89. À Copenhague 98 chefs d’État, 15 000 délégués, 10 000 activistes environnementaux, 5000 journalistes, 1200 limousines, 140 avions privés

[93] Chaque année a lieu une conférence internationale de cette ampleur, la 21è est donc à Paris en 2015. Il faut noter qu’en plus, existe des « Sommets de la Terre » (Ier en 72 à Stockholm, puis tous les 10 ans à peu près, 2012 à Rio) qui consomment encore autant d’argent et de CO2

[94] Cette locution fait partie des nouveaux termes employés pour tromper l’opinion: le droit à la santé reproductive englobe l’avortement sous toutes ses formes. Prévenir les grossesses non désirées signifient utiliser des abortifs chimiques ou physiques, qui mettent en danger, non seulement la vie future, mais la santé des autres, les eaux usées étant contaminées par ces perturbateurs endocriniens.

[95] Conférence internationale sur la population du Caire. (1994) : 15 000 personnes, 957 O.N.G.

[96] On voit bien qu’ils sont partout et qu’ils multiplient les sujets d’intervention nauséabonde. Voir P. Hillard.

[97] Curieusement, on favorise P.M.A., G.P.A., adoption par des couples homosexuels, soit la «fabrication» d’enfants. (Voir l’enfant artificiel du Docteur Dickès)

[98] Étaient présents : Warren Buffet, David Rockefeller (resic), Michael Bloomberg, maire de New York, Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire, Julian Robertson, patron du fond Tiger Management, John Morgridge, Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de C.N.N.; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.  Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies pour la population F.N.U.A.P.

[99] 18 novembre 2009.

[100] Décodé, cela signifie: contraception, stérilisation et avortement.

[101] Premier titulaire de la chaire de développement durable au Collège de France.

[102] Lu dans «le bulletin d’André Noël» n°2166 en novembre 2009.

[103] Vice-directeur de l’institut d’études historiques sociales, province de Buenos Aires (p.93 de “les contrevérités de l’écologisme”par S. de Larminat).

[104] Rusty James news 29 mai 2012 L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier» afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète.

[105]   Word Wide Fund, fonds mondial pour la nature, créé en 1961, par les biologistes anglais Julian Huxley, Peter Markham Scott Guy Mountfort et Max Nicholson, l’une des plus importantes O.N.G.(organisation non gouvernementale) dans le monde. Financée officiellement à seulement 50% par des particuliers, le reste provenant des pouvoirs publics, ONU en particulier, et de grandes multinationales (IKEA, H&M, Coca-Cola, Nokia etc.)

[106] Sylvie Brunel (géographe, économiste et écrivain française): Pourra-t-on nourrir le monde de demain ? Oui, mais pas comme on le fait aujourd’hui. La population mondiale ne doublera plus jamais. Malthus avait tort : on n’assiste pas à une course entre la démographie et les ressources.

[107] Encore un mot piège, car inoffensif en apparence, mais quand on connaît les moyens que Big Brother met en place pour nous surveiller, cela ressemble à l’empreinte de l’animal traqué.

[108] Spécialiste de la science écologique depuis 60 ans, expert de l’U.N.E.S.C.O. de 61 à 70, créateur d’un Institut d’écologie appliquée à Orléans, président de la société française des sociétés de protection de la nature de 68 à74. En 95, il déclare : les écolos ne sont plus des scientifiques ; Copenhague (2009) déclenche sa colère : 40 000 spécialistes militants s’y rendent, alors que le réchauffement s’est arrêté depuis 10 ans !

[109] Voir la note en fin de cette étude.

[110] M. Meteo à France 2, viré (sur ordre de l’Élysée ?) 2 mois avant la C.O.P. 21 à Paris. Croit à la responsabilité humaine, mais dénonce les dessous du G.I.E.C. et de la préparation de cette conférence, grande cause nationale !

[111]Demandez au Mont St Michel s’il risque d’être submergé par les eaux. À quoi auront donc servi les travaux de désensablement ?

[112]Rappelons : Brésil, Russie, Inde, Chine, « Sud-Afrika ». Pour nous :B.R.I.C.A.

[113] Or les gens raisonnables tablent sur 2°C de plus sans aucun effort humain. Il sera donc facile de crier victoire.

[114]Prométhée est un Titan, fils cadet de Japet et Thémis (ou Clymène selon Hésiode) et frère d’Atlas, Ménétios et Épiméthée. Connu pour avoir créé l’homme avec de la boue (déjà chez les païens !), pour le vol du « savoir divin » (le feu sacré de l’Olympe), qu'il cache dans une tige et restitue aux humains. D'autre part, lorsque Zeus déclare vouloir anéantir l’espèce humaine dans un déluge (encore un emprunt à l’Ancien Testament), il épargne finalement Deucalion, fils de Prométhée, et sa femme Pyrrha. 


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